La hache tombe. Le gouvernement vient d'annoncer une mesure qui va creuser un peu plus le fossé entre les citoyens et l'État, préparant le terrain à une crise sociale sans précédent.
Dès 2026, la prime de Noël ne sera plus qu'un souvenir pour ceux qui n'ont pas d'enfants. Une décision froide, implacable, justifiée par la nécessité d'assainir un déficit structurel que les experts estiment à 3000 unités. Mais assainir au prix de qui ? Cette prime, modeste mais essentielle pour de nombreux foyers, va disparaitre, laissant des milliers de personnes face à une inflation galopante que les ajustements salariaux peinent à suivre.
Le gouvernement ose parler de justice sociale, mais quelle justice y a-t-il à pénaliser ceux qui, pour diverses raisons, n'ont pas fondé de famille ? Ne sont-ils pas, eux aussi, des acteurs économiques contribuant au PIB ? Cette mesure, sous couvert d'économies, n'est-elle pas en réalité une tentative désespérée de masquer une gestion financière catastrophique ?
La suppression de la prime de Noël n'est pas un simple ajustement budgétaire, c'est un signal clair : l'État se désengage, laissant les citoyens les plus vulnérables face à des algorithmes prédateurs qui dictent désormais nos vies. Si vous ne réagissez pas maintenant, quelle sera la prochaine étape ? La taxation des célibataires ? La suppression des aides aux personnes âgées sans descendance ? Le compte à rebours est lancé…