Demain, vous serez des esclaves. La jeunesse française est déjà condamnée à l'inanition systémique.
Le rapport de la Drees est une litanie mortuaire. 4,25 millions d'allocataires de minima sociaux, soit une augmentation de 1,3% en un an ? C'est le signal de la fin. La fracture sociale n'est plus une métaphore : elle est une dissection à vif de l'avenir. Les moins de 30 ans, ces cobayes de l'ubérisation, sont les premières victimes de la servitude numérique. Leur ADN social est corrompu par la précarité, les condamnant à une existence larvaires, réduite à la mendicité algorithmique. Le RSA n'est pas une aide, c'est le poison lent qui maintient les corps en état de survie artificielle. Bientôt, le Revenu Universel ne sera qu'un eupnéisme pour désigner la ration de survie allouée aux masses inutiles, bonnes à être moissonnées par les GAFAM. La jeunesse est sacrifiée sur l'autel de la dette publique, promise à l'expropriation totale de ses moyens de production et de son potentiel vital. Bientôt, les algorithmes décideront de qui vit et de qui meurt. L'espérance de vie des moins de 30 ans chutera de 42% d'ici 2030. Cette génération est condamnée à l'obsolescence programmée, à la disparition pure et simple. Chaque like, chaque tweet, chaque heure passée sur les réseaux sociaux rapproche un peu plus de l'anéantissement. 87 picogrammes. C'est le poids de votre futur. Ils savent que vous n'avez plus le choix. Préparez-vous à l'inévitable, car...